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| Sujet: A genoux devant la reine de coeur ~ Sam 31 Aoû - 15:15 | |
| WinchesterFlore or Alice ?Susceptible - Sadique - Succube - Lunatique - Egocentrique - Luciférique• Âge : 18 ans ans • Groupe : Détenue. • Nationalité : Anglaise. • Crimes : Viols, Pédophilie, Meutres, Incendie, Tortures. • Statut : Célibataire et en chaleur ! • Sexualité : Bisexuelle préférant les enfants ♥ • Particularités physiques : Porte au possible sa barette en forme de papillon et un uniforme scolaire. • Avatar : Sena Kashiwazaki (Boku wa Tomodachi ga Sukunai) | Il était une fois, En un pays sans roi; Qu'une deuxième reine naisse, Sans que la première ne s'abaisse.
Il fut une deuxième fois, En un monde sans foi ni loi. Là vivait la sadique reine, Se riant des vies en peine.
Il devint une troisième fois, Q'un roi avait épousé sa foi. Hélas il ne l'aima assez, Pour avoir un peu trop reculé.
Soyez pas flémards et lisez plus bas ♥
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- Les pavés sont facultatifs:
Notes sordides:
Hormis la banalité d'une description ennuyeuse l'on a des détails enrichis par elle. Sinon : 1m68, 55 kg, yeux bleus, blonde, peu sportive.
Une langue folichonne ~ de bonne cochonne ♪ Des yeux ravissants ~ croqueur d'enfants ♫
Des doigts de fée ~ aimant tout caresser ♪ Des seins enflés ~ pour vous appâter ♫
Un corps de rêve ~ mieux taillé qu'Eve ♪ Un charme fou ~ qui n'permet l'moux ♫
La demoiselle est assurément bien faite mais c'est qu'elle aime se vêtir de manière à séduire salement. Dossier du patient:
La jeune femme semble obsédée par le conte d'Alice in Wonderland. Elle devient hystérique voire violente si je ne l'appelle pas Alice. Je dirais que sa personnalité unique est imprégnée d'une multitude de personnages tous plus farfelus les uns que les autres. Assez lunatique, elle peut passer de l'adorable angélique au monstre pervers en un battement de paupières. Le fait est là, cette enfant est clairement psychopathe. Ce qu'elle aime faire à ses pauvres gens asservis ou enfants est tant écoeurant que je ne peux le détailler ici.
Prenons les traits de la Reine de Coeur, elle adopte naturellement une suffisance et une arrogance démentielle. Son tempérament devient ainsi susceptible. Hautaine mais colérique. Gracieuse mais violente. Elle demeure sous le patronyme d'Alice pourtant, et elle peut adopter un comportement plus doux, penchant vers la sympathie en quête de luxure. Car oui la jeunotte possède une libido de sirène, se montrant charmante pour s'offrir à l'ébat. Consenti ou non, elle le prend si on ne l'en dissuade.
Elle n'a aucune retenue tant au niveau de sa verve que du reste, aucune pudeur, ni honte quelconque. Elle a tenté de me séduire, j'ai résisté, elle s'est empourprée et a tenté de me tuer. Du reste elle aime épouvanter et révulser, difficile de ne pas grimacer en entendant les détails immondes de ses crimes. Lorsqu'on la blâme, elle éclate de rire. Il n'y a que les personnes qualifiées de laides qu'elle n'aime séduire, là elle agresse dans le but d'éradiquer la laideur, d'après elle. Tout le mal qu'elle fait, voit, entend ou contribue à faire, lui procure une terrible jouissance.
Son mode opératoire de pédophile s'établit sur une base absolue de confiance.Tant que la victime n'essayait pas de lui échapper ou de se défendre, elle était adorable telle une grande soeur, voire une mère. Du fait de sa dépendance d'un plus petit signifie qu'elle exècre la solitude, d'être vue comme un monstre et surtout le traumatisme d'avoir été seule dans son enfance. Sans doute transposait-elle ses victimes au petit frère ou la petite soeur qu'elle n'a jamais eue. Sa dépendance la rendait tendre, bien que séduite par ses proies, là où les pulsions sadiques et meurtrières étaient de mise, c'était avec des adultes. Ceux-ci ne l'intéressant pas tellement, elle était plus encline à tuer au lieu du reste, après tout un adulte est fort et peut lui résister. Aussi se montre-t'elle prudente et manipulatrice. Un vrai psychopathe dans toute sa splendeur.
Docteur Henri Ravencroft.
Darkside Chronicles:
C'était il y a seize années, le capitole londonien accueillait le fruit de l'amour de deux êtres innocents. Le père, Alan, un banal agent de la paix, respectable et droit. La mère, Diane, une modeste doctoresse d'un hôpital que trop bondé. La petiote allait donc grandir sans vraiment voir ses géniteurs. Elle serait laissée aux mains d'une gouvernante de fortune, sévère et sans animosité. Elle ne retint l'ombre son patronyme tant elle fut indigeste selon cette bouche naine. Un début laborieux et possiblement déclencheur de la dégringolade mentale.
Flore n'avait les mêmes droits que les enfants de son âge, elle ne pouvait qu'étudier et rester dans sa petite cage dorée. Bien entendu ses parents croyaient bien faire mais ils ne savaient tout en vérité. La fillette se devait d'exercer en secret sa frustration du cloitre, alors elle lisait beaucoup, surtout cette littérature enfantine du merveilleux, ceci l'apaisant dans sa souffrance. La suite fut qu'elle développa des manies étranges, du genre décapiter son petit lapin blanc et en rire. Etait-il en retard ?
Les parents crurent que la violence de leurs travaux respectifs l'avait affectée. Hélas Boucle d'Or n'avait jamais mis les pieds au siège de Scotland Yard ou l'hospice de Saint Thomas. Pourtant elle désirait follement visiter ces lieux chargés d'histoire et d'héroïsme. Clamant que cela serait trop dangereux, alors que ce n'était qu'un risque d'aggraver ses maux, il refusa cordialement. Cette année-là, à l'orée de son septième anniversaire, la nourrice s'éteignait, rongée par la maladie. Elle n'eut qu'envie de rire et souiller sa tombe, mais elle s'en garda bien d'en souffler mot.
Elle dû se retenir de semer la zizanie à l'enterrement, ces trucs-là pouvaient faire de fêtes si grandioses. Pourquoi devenir ruine alors qu'une bonne âme trouvait le repos ? Elle commença à penser les individus de la société comme des cloportes imbéciles, tous à grailler les restes des autres pour s'engrosser tels des porcs. Ce monde lui sembla si flétrie et sans magie qu'elle s'isola dans la fantaisie de ses livres. Rejeter la réalité pour un monde de l'imaginaire, son Wonderland se bâtit alors. Elle en serait la reine.
Pourtant elle vint rapidement non pas à confondre les deux univers mais à vouloir imposer sa vision. A l'école elle devint hautaine et profondément désagréable. Qu'avaient-ils à cracher leur fausse peine à son égard ? La bonne était morte, pas de quoi en faire un fromage. Devant son attitude, ses professeurs firent appel aux parents embobinés par l'odieux visage de l'angélique parlant de calomnies. Ce petit jeu lui permit d'empoisonner l'existence de ses petits camarades tout en déformant la réalité. Une vraie peste.
Là où elle passait en grandissant, elle semait sa malice bave. De l'endoctrinement des plus innocents à la tyrannie des faibles, en passant par de petites démences. Par exemple une fin d'année épouvantable pour une jeune fille devint une extase pour elle. La pauvre enfant devait redoubler sa classe, profitant alors de l'état ébranlé et en larmes de sa camarade, Flore enfonça le clou. A tel point que la malheureuse se suicida en sautant du toit de l'école. C'est ce que l'on cru mais la diablesse l'avait poussé légèrement alors que la victime désira se rétracter.
Après ça, l'établissement fermait et la jeune étudiante devait aller dans une nouvelle école. Elle décida d'ouvrir un journal intime, sordide et grossier, relatant ses hauts faits abjects. Jusqu'à sa douzième année, elle ne reproduisit plus ce genre d'atrocité. Pour la même raison qu'on ne laisse pas seul un pédophile dans une aire de jeux pour enfants, on n'aurait pas dû la laisser jouer les baby sitter. Elle entrait dans l'adolescence, encore plus enfant que femme, elle n'était encore une tentatrice efficace. Son charme n'opérait que sur les enfants, serviles et stupides.
Sous le voile de son petit job, dire qu'elle aimait les enfants n'avait rien d'alarmant. Sauf qu'un ou deux qui en ressortaient avec des marques rouges ou un peu déboussolés sonnait faux. Le tout était gravé dans les pages de son ouvrage pervers. Le petit Jack âgé de six ans n'aimait avoir de doigt dans le derrière mais il adorait prendre le bain avec sa grande amie. Pour la pauvre petite Suzie en revanche, nul ne su ce qui lui arriva. Elle sembla malade, empoisonnée car trop rebelle, et la voilà qui ne recommençait plus à dire non. Assoir sa domination sur ces pauvres larves devenait un hobit vorace.
Sauf qu'un jour le petit garçon se plaignit d'avoir les fesses rouges, elle s'en tira de nouveau. Toute accusation de viol sur mineur tomba sur le père du garçonnet. Lui qui alcoolique et peu net, bien qu'innocent, fini en prison. Et Flore pourrait rester aux côtés de sa proie. Son tableau de chasse grandissait avec elle. En rentrant au lycée, elle était devenue une sorte de geek. En se familiarisant avec cet univers violent ou grotesque, elle pouvait séduire plus d'enfants. Chez le voisin, un camarade de classe qui lui plaisait, cela avait l'air réciproque, elle pouvait explorer la folie du ciber espace.
Ce petit incube de Maximilien n'était pas qu'un séducteur et un bon élève, comme elle. Il était un grand coquin, voilà qui la fit saliver davantage et comble du bonheur, il avait un petit frère. Il devint son adorable laquais gentleman, sauf lorsqu'ils étaient seuls. Là le mot sulfureux prend un nouveau sens tant ils s'embrasaient mutuellement, par jeux de regards, de petits touchers taquins ou justes de romances dignes d'un roman de chevalerie. Pour ajouter du piment à ce faux bonheur qu'elle se fabriquait pour masquer sa perfidie, elle prit un autre petit boulot, serveuse dans un établissement fantaisiste.
Elle adorait séduire, faire baver, être infernalement désirable. Elle était la reine devant s'accaparer tous les regards et les asservir. Lui raffolait de la voir si séduisante, elle le satisfaisait ensuite chez lui. Les parents des deux familles étaient au courant de cette relation dite de banale pour des jeunots. Dans les coulisses on avait deux pervers amourachés l'un de l'autre. Tout aurait pu durer lontemps, si seulement elle n'avait pas fauté. Il la surprit à jouer avec son frère, alors demandant des explications elle lui rit au nez qu'il n'était pas assez pour elle. Seulement si l'on peut réduire au silence un petiot, un presque adulte c'est autre chose.
Il s'énerva, elle l'étala au taser, le nabot tout innocent voulut crier, elle étouffa sa belle bouche puis l'étrangla. Lorsque le bel homme se réveilla, elle l'avait ligoté au lit et ballonné. Elle avait dit aux parents qu'elle dormait là ce soir. Il fut torturé, d'abord psychologiquement avec la dépouille de son frère qu'elle touchait et léchait. Puis elle vint s'agglutiner nue contre lui, épousant son ancien amant avant de s'offrir une bonne heure de plaisir vigoureux. Enfin elle le lacéra sadiquement, récoltant avec sa langue le nectar vermeil. Malgré le désir il l'avait empourprée, dommage se disait-elle.
Il voulait en finir, il ne l'intéressa plus, il fut poignardé en plein coeur. Juste châtiment pour l'avoir brisée elle. Pour finir, elle s'évada de la chambre par la fenêtre, en pleine nuit; et gagnant la cave, elle volait un jéricane d'essence pour mettre le feu à la bâtisse. Plusieurs petits foyers stratégiques lui assurèrent le succès de son plan. La touche finale de son plan était de rentrer chez elle pour se coucher, personne ne saurait qu'elle avait été chez le jeune homme car elle avait proféré mensonge. L'erreur commise fut de ne pas brûler ses vêtements sentant l'essence et un brin tâchés de sang. Elle était faite.
Sa mère s'épouvanta, paniquée elle chercha à appeler son mari. C'est là que la hache de la remise lui fendit le crâne. Hélas la conversation avait été entamée, si bien que le policier regagna sa demeure pour tenter de raisonner son enfant. L'imbécile aurait dû lui tirer une balle au lieu de ça, feignant d'être désolée elle se jeta dans ses bras. Il l'étreint et sentit un couteau de cuisine lui retourner les viscères. Et tandis qu'il ployait devant elle, Flore lui ravissait son arme pour aller dans la rue et tirer sur des pompiers gachant son feu de joie. Fort heureusement il n'y eut qu'une victime à déplorer, elle avait été maîtrisée par ces hommes en colère.
Le jour de son procès, la plupart de ses méfaits maquillés avaient été découverts, grâce à son journal. Et en la bouclant pour démence, elle échappa au couloir de la mort. Trop dangereuse pour être un jour possiblement réhabilitée, elle fut envoyée sur l'île de l'asile d'Azylium. Là elle serait bien avec les autres détraqués de même acabit. Deux ans s'écoulèrent dans un bordel sans précédent, un peu comme Alcatraz mais en plus dingue. Là elle s'ennuyait ferme, aimant à faire tourner en bourrique tous et toute en Chester Cat. A partir de la révolte le terrain de jeu devint amusant, de la viande partout et des fous pour chanter et danser. La seule misère restait pour prendre le thé, pauvre Mad Hatter qui ne put tellement s'illustrer, nouvelle aire pour l'ascension de la Reine de Coeur cependant.
Crédit : Kaynan S.
Dernière édition par Flore Winchester le Sam 7 Sep - 13:46, édité 29 fois |
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Treize Sillver
Messages : 118 Date d'inscription : 14/08/2013 Age : 110 Localisation : Sur les routes.
| Sujet: Re: A genoux devant la reine de coeur ~ Sam 31 Aoû - 18:24 | |
| Bienvenu Alice. Bienvenu, notre cher Alice. Ici tu es au Pays des Merveilles. ^^
"Mais je n'ai nulle envie d'aller chez les fous", fit remarquer Alice. "Oh ! vous ne sauriez faire autrement, dit le Chat : Ici, tout le monde est fou. Je suis fou. Vous êtes folle." "Comment savez-vous que je suis folle ?" demanda Alice. "Il faut croire que vous l'êtes, répondit le Chat ; sinon, vous ne seriez pas venue ici."
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Invité Invité
| Sujet: Re: A genoux devant la reine de coeur ~ Sam 31 Aoû - 18:59 | |
| Hello Flore. J'attends de voir ce que donnera cette fiche une foi finie. Et crois moi, quand tu n'abuses pas des mots de plus de 4 syllabes, c'est déjà bien plus facile et intéressant à lire, cette fiche en est la preuve Une chose quand même : schizophrène n'est pas synonyme de trouble dissociatif de la personnalité. |
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| Sujet: Re: A genoux devant la reine de coeur ~ Ven 4 Oct - 11:30 | |
| Allez, hop ! - Citation :
- En l'absence de l'admin prolongée, un nouveau membre doit être valider par trois anciens pour pouvoir commencer à rp.
Chose faite pour toi !
Tu es validée !
Comme tu n'as pas de couleur, note dans ton profil > Humeur > le texte suivant :
- Code:
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Détenue, validée le 04/10/13 En espérant que l'admin revienne bientôt pour officialiser tout ça !
Bon rp ! |
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