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| Sujet: Yulian Dementiev Mar 20 Aoû - 17:47 | |
| DEMENTIEVYULIANImpulsif, soumis à des crises de délire souvent violentes• Âge : 26 ans (né(e) 12/11/1986) • Groupe : Détenu • Nationalité : Russe • Crime : Violences aggravées, homicides • Statut : Célibataire • Sexualité : Bisexuel • Particularités physiques : Tatouages • Avatar : Gunji (Togainu no chu) | Autisme de type 3. Crise de violence. Impulsivité. Imaginaire. Insomniaque. Frère garde-fou. Père dans la mafia russe. Témoin involontaire. Décès tragique. Perte de contrôle. Délirium aigu. Effacement des limites. Pour en savoir plus, lisez la suite plus bas.~ |
- Physique:
1m83 78 kg Cheveux blonds, mi- longs Yeux bleu-vert Ongles peints en noir Un tatouage qui se dessine du haut de son torse et ne s'arrête que dans le bas de son dos en passant par le cou et les épaules. Majoritairement de couleur noir, il est un peu plus coloré sur les épaules, tout comme ceux de ses avant-bras.
- Psychologie:
Yulian est incontestablement quelqu'un d'instable. Difficile à saisir, il peut passer d'un extrême à l'autre, parfois en seulement quelques secondes. Tantôt absent, il semble regarder un ailleurs que lui seul serait capable de voir et vous pourriez être juste à côté de lui et lui parler que ce serait comme si vous n'existiez pas, tantôt hystérique, vous pourriez alors devenir la cible d'une violente crise d'agressivité.
Cependant, avec les années, il se retrouve parfois dans une sorte d'entre-deux, comme s'il avait un œil sur son monde, et l'autre sur vous, à vous surveiller. A noter que si plus jeune sa colère était incontrôlée et parfaitement involontaire, il a depuis développé un certain goût vis-à-vis de la maltraitance des autres. Un plaisir morbide à voir couler le sang et une excitation malsaine à se sentir supérieur à l'autre, les coups étant un moyen pour lui d'appuyer cette supériorité plus que les mots. Car non, les discours ce n'est pas son truc, d'autant plus qu'il est assez vite distrait. Comme un enfant, il est difficile de garder toute son attention. D'ailleurs.. tout comme un enfant, il peut être touché par certaines personnes qui trouveront la bonne manière de lui parler et peut se montrer redevable envers celle-ci en voulant leur faire plaisir à son tour.
Il peut parfois avoir l'air fragile et déboussolé comme un petit garçon, cherchant à avoir votre soutien ou même votre assentiment. La lui donner ne vous assurera pas cependant qu'il ne s'en prenne pas à vous dans un futur excès d'hystérie sanglante. Mais ! Cela sera tout de même bien moins probable.
En réalité, Yulian serait plus comparable à un chien sauvage. On peut essayer de l'apprivoiser, de le dompter, peut-être même de lui apprendre à faire des tours, mais à chaque instant, le risque de se faire mordre est toujours bien présent.
- Histoire:
Enfant, Yulian vivait dans sa bulle, un monde qui n’appartenait qu’à lui et dans lequel les autres n’avaient pas leur place. Hormis peut-être son frère Aleksey, de six ans son ainé, qui parvenait à communiquer avec lui, à le rassurer et aussi à le calmer pendant ses crises. Car Yulian est atteint d’autisme de type 3, dans son cas cela se traduit par de violentes crises de colère dont on ne perçoit pas toujours la cause, un état difficile à supporter pour sa mère alors que son frère s’en sort miraculeusement bien avec lui, réussissant à faire passer chacune de ses crises avec le moindre mal à grand renfort de mots rassurants sur un ton doux pour l’apaiser quand d’autres auraient le réflexe de chercher à calmer par la force cet enfant si turbulent. Le fait que son père fasse parti de la mafia ne l'aida surement à aller mieux. Particulièrement cette fois où il fut témoin, alors qu'il s'était caché dans un placard pour jouer, d'une scène qui le marquera pour longtemps. Son père avait ramené un homme – un traitre ou d'un groupe ennemi, il n'en savait rien – et il l'avait tué. Mais avant ça, les coups et diverses tortures avaient eu lieu. Il voulait le faire parler, Yulian ne savait pas à propos de quoi, il ne s'en rappelait pas, quelle importance pour le jeune enfant de six ans qu'il était alors ? Tout ce qu'il se rappelait, c'était les cris, les supplications et le sang.
Il n'en parla pas. Il ne parlait jamais vraiment beaucoup. Sauf avec Aleksey. Mais même avec lui, il préférait écouter. Il adorait l'entendre raconter ses histoires, vraies ou complètement imaginées, peu importait. C'était un moment privilégié où il était parfaitement en éveil et en phase avec ce qui l'entourait. Tout se compliqua quelques années plus tard. Tout ça à cause de son père ! Qu'il pourrisse en prison cet enfoiré ! Car c'est où il croupit à présent, et ce depuis plusieurs années maintenant. Ce connard avait tué son frère. Pas directement, mais l'homme, celui qu'il avait torturé à mort, d'autres l'avaient vengé. Yulian avait onze ans à cette époque. Aleksey en avait dix-sept. Il y a eu une fusillade. Il s'en est sorti sans la moindre égratignure. Pas Aleksey. Une enquête fut ouverte. On ne retrouva pas les coupables, mais cela mis en évidence les implications du paternel dans la mafia locale, ce qui l'envoya tout droit en prison.
Seule avec son dernier fils, la mère ne sut gérer cet enfant qui était devenu bien plus violent qu'auparavant et qui devenait plus fort qu'elle en grandissant. Il n'y avait que son frère qui sache lui parler et il n'était plus là. Cette perte avait rendu Yulian plus virulent dans ses crises. Son père enlevait, torturait et tuait des gens. Ces « gens » se vengeait sur lui, sur son frère, sur toute sa famille. Où était le bien là dedans ? Comment distinguer la frontière entre le bien et le mal avec des exemples pareils ? Certains auraient peut-être vu dans cet évènement une raison de se tourner vers la justice, de vouloir faire respecter la loi pour que ce genre de chose ne se reproduise plus. Cela en aurait incité d'autres à sombrer dans le crime en suivant le chemin qu'on leur a montré. Yulian a surtout retenu qu'on lui avait prit son frère. Et que lorsque l'on fait du mal, on doit rendre plus fort encore.
La mère confia Yulian a un centre pour les gens comme lui. Mais il était un cas particulièrement difficile. Il s'en prenait à ses camarades, aux éducateurs... il poignarda même l'un de ceux-ci avec une fourchette pendant l'heure du repas, contrarié parce qu'il n'aimait pas ce qu'il y avait dans son assiette et qu'on lui disait de la finir. Quelques années plus tard, alors âgé de quatorze ans, il manqua de battre à mort l'un des autres enfants sans l'intervention rapide du personnel soignant sans qu'on ne comprenne pourquoi il s'était énervé à ce point. S'occuper de ce genre d'enfant était une tâche véritablement difficile qui demandait un énorme self-control. Il n'était pas rare que Yulian se retourne contre son éducateur à la moindre contrariété. Tapant, criant, mordant, griffant. Dans cette situation il ne fallait pas répondre aux coups et se montrer patient jusqu'à réussir à le calmer. Mais il arriva un beau jour où on le confia à la surveillance d'un nouveau venu qu'il eu tôt fait de pousser à bout. Ce n'était pas vraiment de sa faute, Yulian était malade, ce n'était pas son attention de blesser les gens, mais les psychiatres commencèrent à émettre des doutes sur ce fait. En grandissant Yulian semblait montrer des signes de satisfaction après avoir fait du mal à d'autres. C'est sans doute ce fait qui conduisit son nouveau tuteur à bout, le poussant dans ses derniers retranchements jusqu'à ce qu'il frappe le jeune garçon en retour pour qu'il cesse de hurler et de cogner les autres.
Comment en était-on arrivé là.... ? Les mois suivants, Yulian épuisaient ses éducateurs, en changeant régulièrement. Il provoquait intentionnellement ces derniers lorsqu'ils ne pouvaient pas répliquer. Mais ils n'étaient pas là pour le mater, mais bien pour le soigner, cependant le comportement du garçon avait changé. Il se montrait plus vicieux et ses actes de violence ne se faisaient plus uniquement lors de ses crises. Certains le soupçonnaient même de simuler des crises pour pouvoir frapper sans être tenu pour responsable de ses actes. Il fut envoyé dans un centre spécial pour enfants à problèmes, mais il ne cessa pas pour autant ses provocations et autres tensions. Jusqu'à ce qu'il tombe sur plus fort que lui.
Pourtant se prendre des roustes ne l'incitait pas à se tenir plus sage. Mais son nouveau gardien remarqua que Yulian n'évoquait jamais les corrections qu'il se prenait. C'était là un point immuable, le blondinet ne parlait pas. Pas de lui du moins. En revanche il cherchait toujours les problèmes, à croire qu'il prenait plaisir à se faire taper dessus. Les punitions allaient de plus en plus loin sans que personne ne le remarque. Des marques corporelles, aux sévices sexuels en passant par les punitions plus psychologiques, tout cela restait entre le garçon et son éducateur. Paradoxalement, Yulian se montrait dans le même temps plus docile et social, valant à l'éducateur des félicitations dans les progrès réalisés. Au début, celui-ci avait voulut faire marche arrière, mais dès que les punitions cessaient, Yulian redevenait agressif et violent. Il devint évident que la seule manière de le contenir était de le mater, ou bien c'est lui qui s'en chargerait. Est-ce que cela signifiait que Yulian ne comprenait que par les coups ? Ou bien n'avait-il trouvé personne qui sache l'amadouer d'une autre manière ?
Aussi improbable que cela puisse paraitre, Yulian retrouva la "liberté" une fois sa majorité atteinte. Il retourna vivre chez sa mère au début, mais très vite celle-ci l'envoya ailleurs. Son propre fils lui faisait peur. Comme sa famille possédait de l'argent - qu'il serait justifié de penser comme pas très légal - il eut son propre appartement et une aide à la personne venait le voir régulièrement pour l'aider à se débrouiller. Yulian n'était ni bête, ni handicapé, seulement... "déconnecté" de la réalité. Parfois le matin, il oubliait d'aller à son travail, un petit job de livreur de journaux qu'un ami de son père lui avait déniché. Il faisait cuire des plats sans enlever l'emballage ou encore mettait au micro-onde des choses qui n'avaient rien à y faire.
Mais cela ne dura pas longtemps, puisque seulement trois mois après sa prise d'indépendance, il fut envoyé incarcérer pour coups et blessures. Jugé comme irresponsable, n'ayant "pas toute sa tête", il fut pourtant relâché une semaine plus tard. Avant que rebelote, nouvelle accusation. Cette fois il fut envoyé en hôpital psychiatrique. Ce fut un échec lamentable où il devait être mis sous tranquillisant la majeure partie du temps, puis sous sédatif après qu'il eu agressé un autre patient, puis des infirmières. Devenu pour ainsi dire un légume en permanence, il semblait qu'il était condamné à passer le reste de ses jours dans cet endroit.
Jusqu'à ce qu'un nouveau médecin chef plus laxiste - et sans doute plus utopiste - décida de tester une autre méthode. La dose de médicaments fut réduite, les séances avec le psy plus fréquentes, on tenta même l'hypnose pour le soigner ! Et cela sembla marcher.
A 21 ans, Yulian était de nouveau libre et indépendant. A 22 ans, il tua deux personnes. Une mère et son fils. Sans mobile apparent. Cette fois les jurés le jugèrent responsable de ses actes et il fut envoyé en prison. A 23 ans, considéré comme trop dangereux pour ses co-detenus après plusieurs bagarres, un coup de couteau et le bouquet final : tentative de meurtre en mordant à la gorge l'un des autres prisonniers. L' "Azylium" comme l'appelait les gens de là-bas, semblait un endroit tout désigné pour un type dans son genre. Advienne que pourra.
C'est à cette même période qu'il se trouva un nouveau garde-fou. Quelqu'un qui parvenait à lui faire entendre raison simplement en lui parlant. Un peu comme son frère ? Pas tout à fait non. L'attention que lui portait le Docteur Sheridan lors de leurs séances est devenu quelque chose qui l'obnubilait. Yulian avait toujours eu besoin qu'on s'occupe de lui et il faisait tout pour attirer l'attention de ce Docteur là. Le fait que Sheridan continue à le suivre même lorsqu'il fut transféré à l'Azylium n'arrangea pas les films que pouvait se faire le grand blond. Alors quand le Doc Shery lui rappelle leurs positions de psy/patient, cela le met hors de lui ! Maintenant que les détenus ont prit le pouvoir sur l'île, il compte bien faire bouger cette situation qui le rend fébrile depuis plusieurs années maintenant.
Il semble alors que cette fois, il devrait terminer sa vie là-bas dedans... parmi tout les autres tarés, il devrait trouver sa place ! A moins qu'ils ne s'entretuent pour de bon ?
Crédit : Kaynan S.
Dernière édition par Yulian Dementiev le Ven 30 Aoû - 17:54, édité 6 fois |
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Treize Sillver
Messages : 118 Date d'inscription : 14/08/2013 Age : 110 Localisation : Sur les routes.
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 21 Aoû - 9:34 | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 28 Aoû - 11:25 | |
| Un personnage haut en couleur, je suis dispo pour un rp quand tu veux |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 28 Aoû - 11:50 | |
| Merci à tous ! Et voilà, fiche terminée ! Je mettrais un avatar ce soir je pense ! Dans le statut c'est écrit Calibataire au lieu de Célibataire dans la fiche modèle ! >.<Pas de souci mon père, si vous arrivez à me faire parler j'aurais plein de trucs salaces et dégueu à vous raconter |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 28 Aoû - 11:56 | |
| Miam un gros vilain, méchant pas beau, moi aussi je veux rpiser (trépigne ) |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 28 Aoû - 11:59 | |
| Viens à confesse mon grand j'attends héhé, d'ailleurs je vais ouvrir un topic le confessionnal pour ceux qui veulent soulager leur conscience ou soulager mes bourses pour les demoiselles évidemment lolllllllllllllll |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 28 Aoû - 14:44 | |
| Ah, un "méchant, un vrai ? Bienvenue chez les barges. |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Mer 28 Aoû - 14:57 | |
| Meuh non, je suis un amour é.è ♥ n__n |
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Personne Admin
Messages : 38 Date d'inscription : 11/08/2013
| Sujet: Re: Yulian Dementiev Sam 31 Aoû - 11:57 | |
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