Shiki Grimm, le Dictateur avide de vérités. [DB 13]

• Âge :  17 ans (né(e) 17/12/1913)
• Groupe : Dictateur
• Nationalité : Franco-japonais
• Crime : Un peu de tout, meurtres, violence, détournement de train, pyromanie…il test de tout selon sa situation, et où il se trouve.
• Statut : Célibataire
• Sexualité : Bisexuel.
• Particularités physiques : Ses cheveux et ses yeux.
• Avatar : ;Natsuno Yuuki/Koide de SHIKI

Shiki a vécu sur les routes. Ne connaissant pas ses parents, il n’a jamais eu d’attache réel, et les rare personne qu’il appréciait, finissait toujours par s’éloigné. Il n’est presque jamais aller à l’école, suivant toujours ses tuteurs au fil des déménagements des voyages, debout au milieu de tous, planquée dans un coin sombre, ou même assis en haut d’un arbre, il écoutait, observait. Bientôt cette particularité à cerné les gens s’affirma, et il se mit à le faire de plus en plus souvent, sur n’importe qui, n’importe où, testant les limites de son « pouvoir » de profileurs. Il se rendit compte que grâce aux connaissances amassées sur son entourage, il pouvait prévoir leurs réactions, et qu’il les tenait en mains, tel un marionnettiste. Il s’affirma au fil des années un caractère froid, et trouva le quotidien ennuyeux. Les humains étaient des personnages totalement prévisible ou imprévisible selon leurs caractères. Il décida donc de partir cherché des « sujets » plus divertissants. Lors de ses errances, il tomba sur nombre de personnes plus horrible ou sage les unes que les autres, mais il finissait tous par les cerné, et les tué. Oui, car il « fallait faire le tri » se débarrassé des inintéressant, et gardé les doué d’un esprit amusant à sondé. Finalement, il finit par chercher dans les prisons et les hôpitaux psychiatriques. Toujours dans le même but. La vérité. Celle que chaque personne cachait en son cœur, et son âme. Mais il fut plusieurs fois renvoyé car on disait que chacun de ses mots poussait les prisonniers aux suicides, et les détraqués à la folie pur et dur, voir à l’autisme. Certaine vérité ne sont pas bonnes à dire.  A chaque fois, il les pressait jusqu’au jus, leurs arrachant aveux, passé incertain, futur improbable, présent impossible, et pensée inassouvis. Puis ils les tuaient. C’est ainsi, au fil des profils effectués, au fils des prisons visité, il se retrouva à Azylium en pleine révolution, et sans moyens de repartir. Très vite il se fit une place non contesté au sein des Dictateur. Aujourd’hui, il réfléchit, et s’ennuie.